2004
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Roger Pinto, « VIII. La fuite (février-juillet 1950) », Éditions de la Sorbonne
Dans sa déposition, David Greenglass déclare qu’en février 1950, il a eu deux entretiens, l’un avec un agent du FBI, l’autre avec Julius Rosenberg. Dans quel ordre, il ne se rappelle pas, de même qu’il ne garde pas un souvenir précis de l’entretien qu’il a eu avec le FBI. Il ne sait plus s’il a mentionné à ce moment-là le nom de Julius Rosenberg, mais il est persuadé qu’il n’a rien avoué de ses activités illégales à Los Alamos : « J’étais presque sur le point de le dire ». Greenglass est beaucoup...