2015
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/4kf3
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.psorbonne
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-351-0419-1
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-85944-891-2
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
La conclusion fait le point sur l’apport de l’ouvrage à la compréhension de la vengeance en Europe occidentale, du xive au xviiie siècle. En priorité se dégagent de nouvelles perspectives sur sa chronologie. Après avoir scruté les racines de la vengeance au haut Moyen Âge, là où elle paraissait un ressort normal de la régulation des conflits, les travaux de ces rencontres ont eu pour objectif de suivre la vengeance à travers les siècles où elle est décrite comme battue en brèche puis rejetée dans le domaine des pratiques inacceptables. Dans une première partie, la conclusion aborde les éléments constitutifs de la vengeance décrits pour la période du xive au xviiie siècle : les émotions en jeu, les relations entre vengeance et violence, les formes, les acteurs, les discours et les pratiques de la vengeance. Dans une deuxième partie, l’interrogation porte sur le déclin de la vengeance, avant, dans la troisième partie, d’en observer les résurgences potentielles dans les sociétés contemporaines.