2020
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/4kgz
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.psorbonne
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-351-0700-0
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-351-0588-4
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Nicolas Lainé et al., « « En leur parlant d’une voix cajolante ». La relation entre les cornacs et les éléphants au prisme de la littérature et de l’ethnologie », Éditions de la Sorbonne
« En leur parlant d’une voix cajolante » : c’est par ces mots que le compilateur grec Élien décrit l’apprivoisement des éléphanteaux par les Indiens, et il s’empresse d’ajouter : « Car les éléphants comprennent la langue des indigènes. » Cette dernière précision n’a en soi rien d’original : l’Antiquité romaine a pour l’essentiel observé l’éléphant dans des situations qui sollicitaient une entente entre l’homme et l’animal suffisamment étroite pour faire réaliser à ce dernier le genre d’acrobaties...