2002
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Roger Navarri, « Poésie et dé(sen)chantement », Presses Universitaires de Bordeaux
Aussi « désenchanté » soit-il, le poète reste un poète à moins de cesser d’écrire et de publier. Il exploite donc nécessairement la veine de son désenchantement, sinon avec plaisir du moins avec une délectation morose qui, si elle ne se prête généralement pas aux grands élans lyriques, renvoie néanmoins à des poétiques variées. Ainsi, le poème continue-t-il à exister et le désir qui s’y manifeste de séduire et de convaincre. Séduire par le côté insolite, surprenant, de tout ce par quoi le chant...