2015
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Gérard Peylet, « La contrainte de la forme brève dans l’œuvre de Joseph Rouffanche », Presses Universitaires de Bordeaux
La seule contrainte que je vais étudier et qui me paraît essentielle pour comprendre, sur cinquante ans, l’évolution de la poésie de Joseph Rouffanche, qui a reçu en 1984 le Prix Mallarmé, est celle de la brièveté, auto-imposée et imposée, chez un poète post-surréaliste qui a aimé à ses débuts et jusqu’au milieu de sa carrière poétique la forme longue, une forme assez foisonnante et abondante, celle qui correspond à son premier lyrisme, le plus traditionnel. La brièveté qui m’intéresse aujourd’hui...