1994
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/51ok
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Pierre Barbéris, « Mistigris, robe lotus et jeunes filles en short », Presses universitaires de Caen
Ainsi le stéréo n’existe pas avant les textes qui le citent, même d’une manière simplement ironique, le véhiculent et le copient et/ou le contre-écrivent, qui le mettent en cause ou qui en produisent de nouveaux. Le stéréo n’existe que par la grâce du discours anti-stéréo. Et cela vaut pour le stéréo-thème comme pour le stéréo-formule, pour les sujets comme pour le « style ». Le Château des oliviers (qui n’est pas le jardin) reproduit le stéréo saga-familiale, et Le Rouge et le Noir, Madame Bovary,...