Calvino à l’épreuve de la sémiologie

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Date

2007

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  • 20.500.13089/53b1
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sémiotique

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Denis Ferraris, « Calvino à l’épreuve de la sémiologie », Presses universitaires de Caen


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Calvino fut conférencier pendant une grande partie de sa vie d’écrivain. Le premier texte théorique que l’on connaît de lui date de 1955, et l’on sait que les dernières pages qu’il a écrites sont également issues de réflexions sur la littérature. En 1967, Calvino s’installa de façon stable à Paris, où il choisit, entre autres activités intellectuelles, de suivre, en 1968 et en 1969, le séminaire de Roland Barthes sur la nouvelle de Balzac intitulée Sarrasine, tandis qu’il participa, un été au moins, aux travaux des sémiologues de l’Université d’Urbino. Calvino avait reçu une formation universitaire classique mais il avait eu l’occasion de connaître de près les historiens marxistes ou marxisants de la maison d’édition Einaudi ; cependant, il fut toujours un libre penseur, dans la plus simple acception de l’expression, et, de même qu’il semble audacieux de dire qu’il eut une période strictement historiciste, il serait excessif de délimiter dans ses interventions critiques une époque sémiotique. La finalité de cette communication est donc d’essayer d’évaluer, aussi exactement que possible, ce que put être l’influence sur Calvino de sa fréquentation d’une approche des textes littéraires que certains qualifiaient de « structuraliste », que d’autres nommaient « théorie du texte », et qui venait d’être baptisée par Tzvetan Todorov sous le néologisme de « narratologie » parce qu’elle s’intéressait, pour l’essentiel, à des récits de fiction.

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