2014
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/53eo
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-87558-323-9
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-87558-322-2
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Jacques Colette, « II. L’instant paradoxal : l’existence de Dieu dans le temps », Presses universitaires de Louvain
[141] Dans le rapport socratique à la vérité — que nous avons appelé le premier degré du paradoxe — le paradoxe résulte de la rencontre du sujet existant et de la vérité éternelle. L’étude du paradoxe absolu suppose que l’on a présent à l’esprit ce qui a été dit dans le deuxième chapitre du Post-scriptum, à savoir les allusions au paradoxe chrétien, à l’absurde qui ne figuraient dans ce chapitre que « par anticipation ». Il faut donc reprendre l’examen du second mode d’accentuation de la structure...