2014
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/53eo
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-87558-323-9
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-87558-322-2
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Jacques Colette, « Conclusion », Presses universitaires de Louvain
[205] Au début de La maladie à la mort, Kierkegaard définit l’homme comme « synthèse d’infini et de fini, de temporel et d’éternel, de liberté et de nécessité ». Mais cette synthèse n’est pas donnée, elle est une tâche à accomplir dans le temps. De cette synthèse (même si les termes en sont différents) Le concept de l’angoisse disait : « Ce n’est que dans la foi que la synthèse demeure éternellement et à tout instant possible ». « C’est la santé de la foi qui résout les contradictions ». L’ensemble...