2000
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/575o
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On regarde beaucoup par la fenêtre dans les romans de Julien Green, à tel point que le geste paraît parfois consubstantiel aux personnages. « Tout est bien, rien n’est changé » pense Adrienne Mesurat après le meurtre de son père, « puisque je me couche comme à l’ordinaire, que j’ouvre la fenêtre, que je me frotte les épaules ». Il semble que la fenêtre, à l’instar des portes, ponts et parapets, cours et escaliers qui constituent le décor urbain des romans greeniens, puisse être lue comme l’une...