1998
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/575q
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Claude-Pierre Perez, « 1. Claudel et l’analogie : Saint Paul ou Mallarmé ? », Presses universitaires de Franche-Comté
Claudel, on s'en souvient, a énoncé à maintes reprises l'idée que les objets du monde doivent être regardés comme des signes : la réalité sensible, affirme-t-il, en désigne une autre qui ne l'est pas, les choses visibles nous instruisent des invisibles, la nature devant nous, silencieusement, nous entretient du Créateur. En d'autres termes, le réel concret peut devenir l'instrument d’une révélation qu’il appartient à la poésie d’accomplir, dès lors que, adaptant ce que Maritain appelle l'un des...