1998
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/575q
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https://doi.org/10.4000/books.pufc
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Claude-Pierre Perez, « Conclusion », Presses universitaires de Franche-Comté
Il est peut-être paradoxal d'entrer dans l'œuvre de Claudel par la porte de la théorie. Ce mot, qu’il n'emploie pas trop (sinon de façon péjorative) aurait probablement suffi à éveiller sa méfiance. Ne nous a-t-il pas souvent mis en garde contre la propension des intellectuels à faire des idoles avec leurs idées ? et ne nous a-t-il pas avertis qu'il entendait en user lui-même avec une tout autre liberté ? Il faut relire, à ce sujet, dans la dernière des Conversations dans le Loir-et-Cher (1928),...