2019
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/577z
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Arnaud Bernadet, « Le théâtre du survisible : Ciels de Wajdi Mouawad », Presses universitaires de Franche-Comté
« Ça saute aux yeux mais on n’y voit rien ! »Dans le « quatuor » que constitue Le Sang des promesses de Wajdi Mouawad, Littoral (1999), Incendies (2004), Forêts (2007) et Ciels (2009), c’est sans nul doute la dernière pièce – à la fois conclusion et ouverture du cycle – qui questionne sur un mode directement critique le statut du visible au théâtre, lieu ambivalent de révélation et d’égarement. Aux prises avec le champ sonore (voix et musique), puisant ou même amplifiant ses moyens par la vidéo...