L’amendement à la loi des pauvres de 1834 : oppression sociale ou promotion sociale ?

Fiche du document

Auteur
Date

2005

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/5aik
Relations

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/57oe

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pufr

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-86906-477-5

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-86906-209-2

Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554



Citer ce document

Tri Tran, « L’amendement à la loi des pauvres de 1834 : oppression sociale ou promotion sociale ? », Presses universitaires François-Rabelais


Partage / Export

Résumé 0

L’amendement de 1834 à la Loi des Pauvres est souvent considéré comme un des facteurs déclencheurs du mouvement chartiste; il fut à l’origine d’un profond mécontentement populaire, dans le monde ouvrier, car ses détracteurs soulignèrent à juste titre que la nouvelle loi durcissait les conditions d’octroi des secours et des aides aux plus pauvres. Une étude des archives parlementaires, gouvernementales et paroissiales nous permettent de nuancer ce jugement: les correspondances échangées entre le Poor Law Board et les paroisses, les enquêtes parlementaires, et les minutes des conseils paroissiaux nous montrent les possibilités réelles offertes par la Nouvelle loi des pauvres, par le biais de l’apprentissage et de l’émigration. Il semble que la loi n’était pas si cruelle et les autorités locales disposaient d’une certaine liberté de jugement. Les archives montrent qu’Edwin Chadwick lui-même ne fut pas insensible aux cas les plus affligeants qui lui furent transmis. C’est pourquoi on peut dire finalement que la New Poor Law fut un paradoxe victorien.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines