2021
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/57t1
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https://doi.org/10.4000/books.pufr
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Céline Geffroy, « Conclusion de la troisième partie », Presses universitaires François-Rabelais
Pour expliquer le processus qui motive le buveur à s’offrir en sacrifice, j’ai d’abord montré que le corps humain, reflet de la nature anthropomorphisé dans laquelle il évolue, est un système hydraulique dont les flux doivent être permanents. Toute rupture entraînerait un isolement de l’homme, une non-correspondance rituelle, les dieux/démons se dessècheraient et la sécheresse est synonyme de mort. La mort des dieux, c’est la mort de l’homme.Pour éviter de telles calamités, des offrandes sont offertes...