2021
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/57tn
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pufr
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-86906-874-2
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-86906-789-9
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Marc-Olivier Déplaude, « Chapitre 4. La fin de la sélection », Presses universitaires François-Rabelais
En septembre 2018, le gouvernement a annoncé que le numerus clausus de médecine serait supprimé d’ici 2020. Selon la ministre de la Santé de l’époque, Agnès Buzyn, il s’agissait par ce moyen d’« arrêter le gâchis humain », tant le concours de fin de première année de médecine est réputé pour sa sélectivité et les conditions exécrables dans lesquelles les étudiants le préparent. Le numerus clausus – soit le nombre d’étudiants, fixé par les pouvoirs publics, pouvant être accueillis en deuxième année...