2015
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/5dcu
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Olivier Bara, « Bocage, acteur de la République : fulgurance d’un nouvel héroïsme théâtral en 1830 », Presses universitaires de Lyon
L’auteur peut veiller, suer, mourir à la peine pour son art ; il laisse après lui un témoignage écrit qui dure autant que la civilisation humaine. Mais l’acteur mort, son œuvre est morte avec lui ; son génie a été éphémère comme le son de sa parole. […] Par compensation, il est vrai, l’acteur voit la gloire face à face, et respire l’encens sur l’autel même. Devant le public, il reçoit la louange de première main, la savoure et la passe au poète, s’il en reste. Il escompte l’avenir au profit du...