1985
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/5ddn
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pul
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7297-0998-3
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7297-0267-0
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Philippe Lucas, « Conclusion », Presses universitaires de Lyon
Et, sous ses pieds, les coups profonds, les coups obstinés des rivelaines continuaient. Les camarades étaient tous là, il les entendait le suivre à chaque enjambée. N’était-ce pas la Maheude, sous cette pièce de betteraves, l’échine cassée, dont le souffle montait si rauque, accompagné par le ronflement du ventilateur ? A gauche, à droite, plus loin, il croyait en reconnaître d’autres, sous les blés, sous les haies vives, les jeunes arbres. Maintenant, en plein ciel, le soleil d’avril rayonnait...