2021
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/5dhw
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pul
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7297-1249-5
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7297-1248-8
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Sylvain Milbach et al., « La IIe République : printemps des peuples, printemps des prêtres », Presses universitaires de Lyon
Avec la proclamation du suffrage universel masculin, le 2 mars 1848, le corps électoral passe de 246 000 à plus de 9 millions d’électeurs. C’est peu dire que la révolution de 1848 constitue une rupture tout autant qu’un défi auquel le clergé est peu préparé, avec la liberté de la presse et donc l’apparition de nombreux journaux, et la liberté de réunion qui entraîne la prolifération des comités et clubs. Si, dans une large part, l’épiscopat voit sans déplaisir la chute de Louis-Philippe, l’instauration...