2013
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Stéphanie Bertrand, « L’aphorisme gidien : un palimpseste ? », Presses universitaires de Lyon
C’est un lieu commun de la critique, auquel Gide lui-même souscrit dans sa conférence « De l’influence en littérature », de considérer « que l’on n’écrit qu’avec et au moyen des textes qui se sont inscrits en nous, parentaux, scolaires, bibliques, orientaux, classiques, français, anglais, allemands, qu’avec des mutations et des dislocations l’on réordonne à sa guise ».S’il est entendu que toute écriture est par essence réécriture, cette réécriture pouvant s’avérer intentionnelle ou involontaire,...