2009
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/5yak
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pumi
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-8107-0950-2
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-912025-50-0
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Laurent Macé, « Un clocher, un donjon et l’agneau pascal. Toulouse au reflet de ses sceaux (xiiie siècle) », Presses universitaires du Midi
À partir de quatre empreintes de sceaux, surgit peu à peu l’image sigillaire de la ville que ses élites ont voulu produire au cours du XIIIe siècle. Réalités topographiques, juridiques et politiques transparaissent à travers une représentation duelle : deux bâtiments emblématiques de la capitale comtale évoquent le bourg et la cité. Mais l’image ne peut être séparée de la légende qui l’accompagne et du contexte même de l’histoire locale : chevaliers urbains et bourgeois marchands se pensent à travers une pratique du scellement qui est l’émanation d’une autorité capitulaire n’excluant pas la tutelle des princes raimondins.