2001
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/5z84
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Jeanine Raidelet, « « Le cuer n’est mie en l’ermin engoulez ». Revêtir une identité dans Aliscans », Presses universitaires de Provence
L’on est rarement nu dans la littérature médiévale où tout homme digne de porter ce nom se doit d’être vêtu, ainsi que le souligne admirablement Marie de France à travers le loup-garou dont s’inspire le Bisclavret, loup-garou dont on a intentionnellement dérobé les vêtements afin qu’il ne lui soit jamais possible de recouvrer son identité première, celle du baron beau et bon chevalier. Plus qu’un signe évident de la condition humaine et de la reconnaissance d’autrui au sein de la société féodale,...