1981
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Jean-Charles Payen, « L’écriture comme prière : le cas de Robert Le Clerc », Presses universitaires de Provence
Les Vers de la Mort de Robert le Clerc constituent comme le testament poétique d’un vieux trouvère arrageois qui, en expiation de ses péchés, entreprend ce long pensum de 312 douzains octosyllabiques pour la conversion de ses contemporains qu’il exhorte à partir pour la Croisade, l’œuvre date de 1269. Bile s’inscrit dans une tradition (celle d’Hélinant de Froidmont) qu’elle enrichit par un nouvel art de dire, très concret, parfois familier, presque toujours véhément, le poète interpelle avec violence...