1999
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/5z8o
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pup
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-8218-3614-3
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-901104-43-8
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Wolfgang Spiewok, « Clinschor/Klingsor. Variations sur un magicien », Presses universitaires de Provence
Chaque culture a ses grandes figures d’enchanteurs, tournés vers le Bien ou vers le Mal, redevables de leur magie à quelque savoir ésotérique, ou à un pacte avec le diable. Pour le Moyen Age français, cette figure est facile à identifier : en effet, Merlin, lié au vaste domaine des légendes arthuriennes, domine presque seul la scène. En revanche, dans le domaine allemand, la tâche n’est pas si aisée : le destin exemplaire du Docteur Faust et son pacte avec le démon, abondamment repris par la suite,...