The body as threshold for connection

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Date

2017

Discipline
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  • 20.500.13089/63h5
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Margot Lauwers, « The body as threshold for connection », Presses universitaires de Provence


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Résumé En Fr

This article examines the work of nature writer and novelist Brenda Peterson from an ecofeminist perspective so as to show how she operates a highly-developed deconstruction of traditional binary oppositions present in Western concepts, such as the body/mind split. It analyzes Peterson’s uses of bodily reinvestment and the concept of “skin-dreaming” as ecofeminist writing strategies. Peterson’s writings aim at reconfiguring dichotomous social relations (e.g. men/women, or humans/animals) and at challenging the power of official narratives in order to open up a space for a more comprehensive way of “being-in-the-world.”

Cet article cherche à démontrer de quelle manière l’œuvre de la romancière et nature writer Brenda Peterson déconstruit subtilement les oppositions binaires de la pensée occidentale (telle la dualité corps/esprit) en réinscrivant le réinvestissement corporel et le concept du « skin dreaming » dans les stratégies de la littérature écoféministe. L’œuvre de Peterson cherche à reconfigurer les relations sociales dichotomiques (masculin/féminin ou humain/animal, par exemple) et à contrecarrer la pensée officielle afin d’ouvrir un espace où un « être-au-monde » puisse déployer toutes ses potentialités.

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