Les chinoiseries à l’époque timouride, mode ou effets de style ?

Fiche du document

Auteur
Date

2012

Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/641v
Relations

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/5zc1

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pup

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-365-6119-1

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-85399-819-2

Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554



Citer ce document

Anna Caiozzo, « Les chinoiseries à l’époque timouride, mode ou effets de style ? », Presses universitaires de Provence


Partage / Export

Résumé 0

Lorsqu’au début du xiiie siècle les Mongols déferlent sur le monde musulman, les Turcs SaljouKides installés depuis 1038 ont déjà développé des formes d’art originales. Après trois décennies de ravages et de conquêtes, les Mongols se sédentarisent enfin dans le nord de l’Iran puis en IraK, et participent à l’émergence de nouvelles formes artistiques dont certaines issues d’apports stylistiques extrême-orientaux. Par ailleurs, d’autres descendants de Gengis Khân guidés par Khubilaï Khân (1260-1294)...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines