2017
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/66d8
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pupo
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/979-10-365-4748-5
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-84016-262-9
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Julien Bernard, « Une dépersonnalisation inachevable ? Ethnographie du rapport aux « corps » dans un laboratoire d’anatomie », Presses universitaires de Paris Nanterre
Aujourd’hui, en france, environ 2 500 corps sont légués à la science chaque année, ce qui représente environ 0,4 % des décès. L’usage scientifique de ces corps couvre trois principaux domaines : la formation en anatomie des étudiants de médecine (en deuxième et troisième années), la formation initiale ou professionnelle des chirurgiens (durant l’internat, ou durant des stages pour chirurgiens titulaires), la recherche expérimentale (prothèses, neurochirurgie, crash-tests automobiles, etc.) Jusque...