2016
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/66dl
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https://doi.org/10.4000/books.pupo
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Massimo Olivero, « Eisenstein et Welles : la recherche du primitif », Presses universitaires de Paris Nanterre
Le voyage opère chez Eisenstein un double mouvement de recherche à la jonction d’une réalité extérieure (le Mexique) et de l’imaginaire (« l’écheveau complexe » de son monde intérieur). Il avouera dans ses Mémoires avoir conçu « les montagnes, les bois, les cathédrales, les personnes et les fruits, les animaux et les marées, les troupeaux et les armées » du Mexique comme s’ils étaient le produit de son imagination, l’accomplissement de sa propre extase créatrice. L’expérience mexicaine représente...