2013
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Francis Vanoye, « La perversion comme forme : à propos d’Éric Rohmer », Presses universitaires de Paris Nanterre
L’adjectif « pervers » n’a pas manqué de resurgir, au moment du décès d’Éric Rohmer, sous la plume de divers critiques, souvent sans plus de précision. « Moral le Grand Momo ? Oui, mais pervers » écrivait par exemple Philippe Azoulay dans Libération, le 12 janvier 2010. Pourtant Rohmer n’apparaît pas parmi les cinéastes cités par Michel Marie dans Les grands pervers au cinéma.Il faut, cela dit, faire mention spéciale de Jean Douchet qui, dans le numéro 653 des Cahiers du cinéma se montre plus précis :Le...