2009
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Marie-Laure Jalabert, « Chapitre II. La seigneurie foncière », Presses universitaires de Perpignan
Une seigneurie où les tenures dominent est une image classique, en plein xive siècle. Si Pierre de La Jugie conserve relativement peu de biens réels, il reste seigneur éminent de ceux dont la jouissance ou « domaine utile » a été aliénée, parfois depuis longtemps, par des baux presque toujours perpétuels. Libéré d’avoir à les mettre en valeur, l’archevêque en perçoit le loyer annuel fixe en argent ou en nature ou bien proportionnel aux récoltes (carte 17). Selon le Livre Vert, l’archevêque n’a...