2003
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Philippe Mottet, « Rêver la Grèce : le motif de la nekuia dans Noé », Presses universitaires de Perpignan
Jean Giono, c’est entendu, n’a jamais atteint le niveau d’érudition, en matière de culture classique, de certains écrivains de son temps – Claudel, Valéry, Gide, pour nommer les plus connus de ses aînés, ou plus tard Marguerite Yourcenar – capables de s’adonner avec aisance et bonheur à la version latine ou grecque, voire à la philologie. Pour celui qui « lu[t] L’Iliade au milieu des blés mûrs » (II, 94), Homère, Eschyle, Théocrite, Virgile, la Bible également, n’ont jamais été autre chose qu’un...