2001
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Catherine Maignant, « Une spiritualité irlandaise pour les années 2000 ? », Presses universitaires de Perpignan
L’âge d’or de « l’île des saints et des érudits » s’est achevé comme l’Irlande s’apprêtait à entrer dans le deuxième millénaire. Le rayonnement de sa pensée religieuse est pourtant inscrit dans la mémoire collective de l’Europe tout entière, à la fois dans sa spécificité et son « européanité ». À l’aube du troisième millénaire, suggère Mark Hederman, doyen de Glenstal Abbey, l’Irlande, détentrice privilégiée de ce que Matthew Arnold nommait avec enthousiasme « l’âme celte », a le devoir d’inviter...