2006
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Philippe Zard, « Les concierges de l’Eternel », Presses universitaires de Perpignan
C’est ainsi qu’en 1947, Alexandre Vialatte décrit l’œuvre de Kafka. On ne saurait poser avec plus de netteté l’objection de principe à la présence même de cet auteur dans un colloque consacré aux potins et cancans. Proust, passe encore, lui dont l’œuvre est peuplée des médisances de Mme Verdurin, des frasques polissonnes de Charlus, de la double vie d’Albertine ou de Swann –, mais Kafka, dont les yeux semblent toujours braqués sur les vérités éternelles !Ce serait pourtant commettre une double...