2014
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/6ic3
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Yves Strickler, « Le devenir de la dépouille humaine, ou de l’encadrement des pratiques religieuses par le droit », Presses universitaires de Strasbourg
1. « La personnalité se perd avec la vie. Les morts ne sont plus des personnes ; ils ne sont plus rien ». Cette célèbre phrase de Planiol participe de l’effet de finitude de la mort. La personne disparaît mais il reste son souvenir ; et son corps. Ce corps sans vie, parce que sans vie et sans personnalité de droit, entre dans la catégorie juridique des choses. Par suite, cette chose pourra être objet de droit, mais le « droit des vivants sur le cadavre » est nécessairement singulier en ce qu’il...