2020
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/6ogl
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Xavier Prévost, « Les traductions des ouvrages juridiques byzantins par les jurisconsultes humanistes », Presses de l’Université Toulouse Capitole
« Je n’entens rien au grec », confie Montaigne à la fin du xvie siècle. Cette confidence illustre le rapport complexe qu’entretient l’humanisme de la Renaissance à l’égard des textes en grec : fascination et intérêt, que limite une méconnaissance tenace de cette langue même chez les plus érudits. L’attrait pour les sources en grec est, en effet, une caractéristique majeure de l’humanisme, dont les multiples facteurs sont bien connus. Cette curiosité intellectuelle des humanistes – et spécialement...