2016
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/6q2m
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Paul-Louis Rinuy, « Chapitre 5. Monumentalité », Presses universitaires de Vincennes
Après la Seconde Guerre mondiale, la commande de monuments commémoratifs a été beaucoup moins importante qu’en 1920, mais le nombre d’œuvres d’une portée esthétique indéniable s’est révélé nettement plus grand, malgré la masse de réalisations médiocres, intéressante uniquement du point de vue de l’histoire du goût. Certains critiques, tels Benjamin Buchloh, ont même théorisé dans les années 1970-1980 l’existence d’un hiatus irrémédiable entre les ambitions esthétiques de la sculpture contemporaine...