2016
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Catherine Perron, « Un paysage mémoriel éclaté. La mémoire de la fuite et de l’expulsion au miroir des musées », Presses universitaires du Septentrion
En 2007, dans son ouvrage Der lange Schatten der Vergangenheit, Aleida Assmann faisait remarquer que la mémoire des expulsés était l’exemple même d’une mémoire à laquelle une assise institutionnelle faisait encore défaut. Elle définissait cette dernière comme une trame qui, au-delà de la sécurisation matérielle des traces, de leur présentation muséale ou autre, opère un tri dans ce dont il convient de se souvenir, le concentre en un récit cohérent, offre une interprétation et confère un sens normatif...