2017
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/6thq
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https://doi.org/10.4000/books.septentrion
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Arnaud Timbert, « Chapitre II. Les hommes du chantier », Presses universitaires du Septentrion
« Le chantier a ses temporalités – fermé en hiver, ralenti en été – dépendant plus des ressources et de la main-d’œuvre que des fonds de fabrique. Il tire parti de son milieu pour formaliser ses espaces, asseoir des fondations, y extraire les blocs de pierre toujours difficiles à manipuler. Il s’y applique certaines innovations. Bref, le chantier est spectacle, nœud de réseaux, d’apprentissage, de convivialité, lieu de mémoire. » Le chantier est en effet, avant tout, un lieu social, dont la hiérarchie...