2003
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Michel Rouche, « L’héritage de la voirie antique dans la Gaule du Haut Moyen Âge (Ve-XIe siècle) », Presses universitaires du Septentrion
Si l'on en croit Albert Grenier, « le Moyen Âge c’est la décrépitude progressive des routes ». Il n’y eut, à ses yeux, que deux époques de construction des routes : celle des empereurs romains et celle des ponts et chaussées royaux, mais, ajoute-t-il, « l’histoire des routes romaines ne finit qu’au XVIIIe siècle ». Devant ces deux affirmations contradictoires (car, comment les voies romaines pourraient-elles avoir duré sans aucune réparation, pendant treize siècles ?), il faut bien constater l’existence...