1995
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/6tno
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.septentrion
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7574-2182-6
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-85939-439-4
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Pietro Pucci, « 10. Retour : non-retour », Presses universitaires du Septentrion
Cette proximité « de » [...] l’Être est appelée « la patrie » [...] en partant de l’expérience de l’oubli de l’Être. Le mot est pensé ici dans un sens essentiel, non point patriotique ni nationaliste, mais sur le plan de l’histoire de l’Être. L’essence de la patrie est nommée également dans l’intention de penser l’absence de patrie de l’homme moderne à partir de l’essence de l’histoire de l’Être.Martin Heidegger, Lettre sur l’Humanisme« Fuyons vers notre patrie bien-aimée » — voilà le plus véridique...