2010
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Catherine Guillot, « Conclusion », Presses universitaires du Septentrion
Tout au long de son travail, Chérier demeure fidèle aux mêmes sources d’inspiration. Il affirme, souvent au regret de Carpeaux qui lui reproche son manque d’étude de la nature, son goût pour les modèles de la première Renaissance et de l’époque gothique et surtout des artistes nazaréens. Il achète ainsi à Paris en 1854 « toutes les publications des peintres primitifs » et tout au long de sa carrière, son ambition demeure de faire « une grande image gothique », tout en gardant Raphaël comme référence...