2018
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/7943
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.societe
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-36519-049-7
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-36519-024-4
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
Michel Adam, « Avant-propos », Société d’ethnologie
Comme toutes les espèces vivantes, les sociétés humaines vivent au rythme des heures et des saisons. Depuis toujours, la période nocturne, obscure et souvent perçue comme chargée de menaces, représente une fraction du temps dévolue à l’enfermement, au repli sur soi, au repos, à l’attention requise par ses proches, aux rêveries, à l’amour. Privés dans leur sommeil d’une partie de leurs défenses naturelles et réduits en quelque sorte à un état infantile qui est celui du dormeur, les humains se rassemblent...