2002
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/81ky
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Anne-Emmanuelle Demartini et al., « Le crime du sexe. La justice, l’opinion publique et les surréalistes : regards croisés sur Violette Nozières », Presses universitaires de Rennes
Le 29 août 1933, la presse parisienne annonce l’arrestation de Violette Nozières, jolie lycéenne de dix-huit ans, soupçonnée d’avoir empoisonné ses parents et par voie de conséquence tué son père. Les premiers éléments de l’instruction divulgués par la presse semblent accréditer la thèse d’un crime crapuleux, exécuté froidement avec préméditation. La mère, qui a survécu au drame, révèle que Violette avait déjà tenté d’empoisonner ses parents quelques mois auparavant. Elle explique que sa fille,...