2010
Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/81s7
Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pur
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-4585-4
Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-1109-5
info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554
Françoise Argod-Dutard, « Conclusion », Presses universitaires de Rennes
Conclure ce serait fermer les voies à l’imaginaire du lecteur alors que l’œuvre ouvre des possibilités d’interprétation nouvelles à chaque lecture. C’est bien là une des aptitudes fondamentales de la langue littéraire que de laisser des interstices entre les mots et les phrases pour le rêve, l’évasion de l’esprit et du cœur, la recréation de l’œuvre par l’imaginaire du lecteur que la magie du verbe a fécondé.D’écriture en lectures, de créations en partages, c’était un sujet de réflexion, c’est...