2010
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/81uf
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Elsa Grasso, « Phénoménologie du roman policier : l’énigme et la chair du monde chez Pierre Magnan », Presses universitaires de Rennes
De façon provocatrice, on a pu accorder au roman policier, ce « mauvais genre » relégué dans la paralittérature, le statut de la plus romanesque de toutes les catégories romanesques, ou même du « plus littéraire » de tous les genres littéraires, l’enquêteur représentant – par sa démarche de reconstitution continue d’événements extérieurs au récit de l’enquête – « le processus même de la représentation narrative ». Il est à peu près aussi provocateur, et cependant convenu aujourd’hui, de noter que...