2010
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/81ug
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Laurent Gourmelen, « Chapitre I. Protée tel qu’en lui-même : les métamorphoses de la parole poétique (Odyssée, IV, 351-586) », Presses universitaires de Rennes
En perpétuelle transformation, pouvant revêtir toutes les apparences, Protée semble insaisissable. Pourtant, à lire le long récit qui le fait intervenir pour la première fois dans la littérature, au Chant IV de l’Odyssée, force est de constater que Protée pourra être « saisi » par Ménélas. C’est même là l’unique raison d’être de sa présence au sein de ce passage, puisque c’est à cette seule condition que le héros entend les révélations de la divinité marine, après avoir mis un terme au cycle de...