2014
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/8207
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Annette Becker et al., « Les monuments aux morts », Presses universitaires de Rennes
Freud en 1915 : « Rappelons-nous le vieil adage : Si vis pacem, para bellum. Il serait d’actualité de le modifier : Si vis vitam, para mortem. Si tu veux supporter la vie, organise-toi pour la mort. » Or, en 1918, il y a en France près de 1 350 000 morts ; on peut prolonger les intuitions de Freud pour l’après guerre : « Si tu veux la vie, commémore les morts. » La guerre s’offre à la fois comme laboratoire de l’horreur et matrice du siècle. Chacun a alors perçu, intériorisé, réfracté les nouveautés...