2014
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/820b
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Maïté Billoré et al., « Introduction. Vestigia præterita sed veritatis testimonia : mémoire, histoire et archives », Presses universitaires de Rennes
Dans son Apologie pour l’histoire ou Métier d’Historien, Marc Bloch écrit que « le passé est, par définition, un donné que rien ne modifiera plus. Mais la connaissance du passé est une chose en progrès ». La formule, binaire, donne en creux la meilleure définition qui soit de la source tirée des archives : trait d’union entre fait historique passé et connaissance actuelle, elle garde la mémoire de ce « passé donné que rien ne modifiera plus » tout en étant l’objet d’un progrès réel de la science...