Crime et étrangeté dans Le Théâtre de L’Amante anglaise de Marguerite Duras et Le Malentendu d’Albert Camus

Fiche du document

Auteur
Date

2013

Discipline
Périmètre
Langue
Identifiant
  • 20.500.13089/7qye
Relations

Ce document est lié à :
https://hdl.handle.net/20.500.13089/824k

Ce document est lié à :
https://doi.org/10.4000/books.pur

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-5756-7

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/isbn/978-2-7535-2173-5

Collection

OpenEdition Books

Organisation

OpenEdition

Licences

info:eu-repo/semantics/openAccess , https://www.openedition.org/12554



Citer ce document

Najet Labidi, « Crime et étrangeté dans Le Théâtre de L’Amante anglaise de Marguerite Duras et Le Malentendu d’Albert Camus », Presses universitaires de Rennes


Partage / Export

Résumé 0

Dans sa rupture avec l’esthétique classique, le théâtre moderne se veut d’abord provocation. Ainsi, loin de prôner une morale régissant le monde, la scène dénonce, désormais, le non-sens de ce monde, ébranle les certitudes de l’homme et suscite son inquiétude et même son désespoir. Ce refus catégorique de la torpeur, dans laquelle le théâtre maintenait le public, fut inauguré par Alfred Jarry avec sa pièce scandale Ubu Roi, en 1896 :En retournant comme un gant toutes les valeurs, en les passant...

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines