2016
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https://hdl.handle.net/20.500.13089/826u
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https://doi.org/10.4000/books.pur
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Marine Jeanne Boisson, « Quand la mort contamine les bureaux : l’administration des décès », Presses universitaires de Rennes
Dès 1782, à la veille de la Révolution française, c’est aux mairies qu’est confiée la tenue des registres de décès nationaux jusque-là consignés par les autorités religieuses. Des agents doivent se déplacer sur le lieu de la mort pour enregistrer les déclarations des familles et voisins. Aujourd’hui, ces agents sont chargés de l’enregistrement des opérations funéraires au sein de services municipaux, de l’organisation des enterrements des personnes indigentes et du suivi administratif des corps...